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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Mourier, capitaine. Informe l’État-major de l’arrestation de Wessel, VI, 102. — Sa déposition au procès Dautriche, 102, note 2, 103 et note 3.

Moustiers-Mérinville (Comte Maurice des). Arrêté au cours des scandales d’Auteuil, V, 116, note 2.

Mulot, soldat. Copie des documents pour Esterhazy, II, 87, notes 2 et 3. — Entendu par Picquart dans son enquête sur Esterhazy, 380 et note 4. — Sa déposition au procès Esterhazy, III, 213 ; à l’instruction Tavernier contre Picquart, II, 107, note 5 ; devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 106, note 2 ; 107, note 5 ; 380, note 6.

Mun (Comte Albert de), député. Sollicité par Bernard Lazare en faveur de Dreyfus, II, 503-504. — Ses relations avec le P. du Lac ; ses attaques contre le « Syndicat », III, 32. — Interpelle sur l’Affaire ; son discours sur l’« honneur de l’armée » (séance du 4 décembre 1897), 136-146 ; sur la lettre J’accuse (séance du 18 janvier 1898), 231-234, 239, note 1. — Son discours de réception à l’Académie française, 544-545. — Son intervention dans les débats qui suivent la démission de Chanoine (séance du 25 octobre 1898), IV, 339 ; dans les interpellations Bos et Massabuau (séance du 28 novembre 1898), 401 : dans les débats sur la liberté de l’enseignement, 418. — Souscrit aux listes rouges, 441. — Vote contre l’ordre du jour flétrissant les scandales d’Auteuil, V, 118, note 1. — Intervient dans la discussion de la loi sur les Associations, VI, 177. — Article dans le Gaulois sur l’affaire Monnier-Du Lac, 229. — Vote contre la réintégration de Dreyfus, 489, note 1.

Munier, commandant. Chargé par Sandherr de vérifier la traduction de la dépêche du 2 novembre 1894, I, 246. — Sa mort, V, 298.

Munster (Comte de), ambassadeur d’Allemagne à Paris. S’engage à empêcher les attachés militaires de se livrer à l’espionnage, I, 30. — Ignore les pratiques de Schwarzkoppen, 31 ; II, 88-89. — Apprend de lui qu’il n’a pas eu de relations avec Dreyfus, I, 245. — Déclare à Hanotaux que Dreyfus est inconnu de l’État-Major allemand, 254. — Renouvelle cette affirmation, 340. — Sa maladie ; démarche d’Hanotaux auprès de lui, 340-341. — Légendes auxquelles cette démarche donne lieu, 343-345 ; 348-349, 463. — Fait insérer dans le Figaro une note démentant tout rapport de Dreyfus avec l’ambassade, 522. — Communique à son gouvernement les racontars de la presse à ce sujet, 523. — Renouvelle ses protestations auprès de Dupuy, ministre intérimaire des Affaires étrangères, 524. — Lui communique une lettre de Hohenlohe après la condamnation de Dreyfus, 524-525. — Demande à être reçu par Casimir-Perier, 525. — Son entrevue avec le Président, 538-543. — Note rédigée à la suite de cette entrevue ; il accepte, après en avoir référé à Berlin, la teneur de cette note, 543. — Sa lettre à Schwarzkoppen, 543, note 3. — Sa confiance dans la femme Bastian, II, 264. — Apprend de Schwarzkoppen les relations de celui-ci avec Esterhazy, 597. — Réitère à Hanotaux ses déclarations antérieures au sujet de Dreyfus, III, 44 ; 49. — Communique à Hanotaux les déclarations de Bulow à la commission du budget du Reichstag, 318. — Cette communication est démentie par ordre d’Hanotaux, 319, note 2. — Discours de Millevoye à Suresnes sur le bordereau annoté : dé-