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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

« le rôle joué en 1896 par l’enquête de Picquart », 340, note 1. — Son opinion sur le faux Henry, 419, note 2. — Fait connaître à Méline, Billot et Milliard le dossier de l’affaire Du Paty-Comminges, 643, note 2. — Ses communications à la presse au sujet des entretiens de Scheurer-Kestner avec Méline et Billot, 654-655 ; au sujet de la délibération des ministres relative à l’affaire Dreyfus (9 novembre 1897), 664. — Mis au courant des dénégations de Panizzardi, III, 52. — Prend des mesures pour empêcher Esterhazy de s’enfuir, 114. — Propose à Méline de remanier le ministère après la démission de Darlan, 126-127. — Son attitude lors de l’interpellation Millerand, 143. — Se tait lorsque Cavaignac porte à la tribune la question des aveux, 238. — Refuse de s’entretenir avec Trarieux et Joseph Reinach au sujet de la communication secrète, 313. — Répudie l’antisémitisme, 282, 484. — Révoque Leblois, adjoint au maire du VIIe arrondissement, 492. — Communique le dossier Du Paty-Comminges à Félix Faure, 524. — Refuse d’interdire l’entrée en France de certains journaux étrangers, 565, note 2. — Son attitude lors des élections législatives de 1898, 587. — Blâme la procédure engagée par le ministère Brisson en vue de la revision, IV, 333. — Son discours contre Brisson, 340. — Président du groupe républicain progressiste, s’associe aux déclarations de Poincaré lors de l’interpellation sur le procès Picquart, 403. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 452-453 ; déclare que Méline et lui n’ont connu le faux Henry que par les aveux, 513, note 2. — Signe le manifeste des groupes républicains contre le projet de dessaisissement, 542. — Après la mort de Félix Faure, donne sa démission de président du groupe progressiste et se rallie à la candidature de Loubet, 558. — Son vote sur l’interpellation à propos des scandales d’Auteuil, V, 130 ; sur la mise en accusation de Mercier, 133. — Les radicaux s’opposent à son retour au pouvoir, 158-161. — S’abstient dans le vote de confiance au cabinet Waldeck-Rousseau, 194. — Dément que l’étranger ait envoyé des fonds pour la campagne revisionniste, 501, note 1. — Vote contre l’ordre du jour de confiance au ministère (séance du 28 mai 1900), VI, 120, note 1. — S’élève contre l’influence croissante des socialistes, 134. — Son attitude lors du débat sur la délation dans l’armée ; il est pris à partie par Jaurès, 406. — Vote contre le ministère, 407. — S’abstient dans le vote de confiance à la suite de l’incident André-Syveton, 420, note 4. — Entre dans le cabinet Sarrien, 424. — Déclare avoir ignoré en 1894 le « crime abominable » de Mercier, 492-493. — Sa réplique à Mercier lors des débats au Sénat sur la réintégration de Picquart et de Dreyfus dans l’armée, 498-499.

Bary (de), lieutenant. Accusé d’avoir dénoncé le lieutenant Chaplin comme l’auteur d’une lettre de félicitations à Zola, III, 492, note 3.

Basch (Victor), professeur à l’Université de Rennes, Prend part à la campagne pour l’ajournement du procès de Picquart, IV, 390, note 2. — Manifestations dirigées contre lui, III, 275 ; V, 202. — Ses lettres à Joseph Reinach, à l’époque du procès de Rennes, 219, note 3 ; 269, note 2. — Réunit chez lui les principaux artisans de la revision, 267. — Donne l’hospitalité à Labori, 365. — Sa lettre du 22 août 1899 à Joseph Reinach, 416, note 2.

Baschir, turco, ordonnance de