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INDEX GÉNÉRAL

dossier secret de Dreyfus, 122. — Rapport de Pellieux contre lui. 129. — S’oppose à ce que Scheurer-Kestner porte à la tribune du Sénat sa correspondance avec Gonse, 147-149. — Dénonce Souffrain comme l’auteur du télégramme Speranza, 162, note 2. — Sa déposition à l’instruction Ravary, 170, note 1, 173-174. — Demande à Ravary d’entendre Weil, 172. — li note les accusations portées contre lui par Henry, Lauth, Gribelin et Gonse, 173. — Attitude de Ravary à son égard, 173. — Incriminé par le rapport de Ravary, 190-191. — Témoin au procès Esterhazy : il y fait la connaissance de Scheurer-Kestner et de Mathieu Dreyfus, 204. — Affirme à Scheurer-Kestner que Dreyfus est innocent, 204. — Dépose à huis clos ; attitude de Rivais et de Pellieux à son égard, 210. — Remet à Luxer les lettres de Gonse, 211. — Seconde déposition : il est, sur sa demande, confronté avec Henry, 211. — Articles de Rochefort et de Drumont réclamant sa mise en réforme, 219. — Conduit au Mont-Valérien et mis aux arrêts, 219 et note 3. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Qualifié faussement d’« officier d’État-Major » et déféré, à ce titre, au conseil d’enquête siégeant à Paris, 323-324. — Rapport du général Dumont, 324. — Proteste contre la communication au Conseil par Gribelin du dossier secret des pigeons voyageurs, 324-325. — Sa défense ; le Conseil se prononce pour la mise en réforme, 326. — Laissé en prison par Billot, qui ajourne sa décision sur l’avis du Conseil, 326. — Présenté à Mme Dreyfus par Scheurer-Kestner avant la première audience du procès Zola, 341. — Publication de sa correspondance avec Gonse, 347 et note 1. — Attitude des témoins militaires à son égard au procès Zola, 561. — Sympathies et colères qu’il inspire, 571-572. — La proposition de mise en réforme jugée excessive par Zurlinden, 372. — Démarche de Bailloud et de Bessières auprès de lui, en prévision de sa déposition au procès Zola, 372-373. — Gonse essaie de faire agir sur lui par Bertulus, 373-374. — Sa déposition, 375. — Son respect du secret professionnel, 376. — Confronté avec Gribelin, Lauth et Du Paty, 381-383 ; avec Henry ; violente réplique de celui-ci : « Le colonel Picquart en a menti ». 389-393. — Démarches réitérées de Bertulus auprès de Gonse en sa faveur, 394. — Fait la connaissance de Zola, 409. — Nouvelle déposition ; sa confrontation avec Gonse et Pellieux ; la date du bordereau, 429-432. — Rappelé à la barre ; déclare que la pièce produite par Pellieux est un faux, 453. — Riposte de Pellieux, 454-455. — Nouvelles démarches de Bertulus auprès de Gonse, 491. — Mis en réforme « pour fautes graves dans le service », 491. — Envoie ses témoins à Henry, 512. — Esterhazy est invité à le provoquer en duel, 512-513. — La rencontre déclinée puis acceptée par Henry ; note qu’il remet à Gast avant le duel, 516. — Henry blessé au bras, 515 et note 6. — Refuse de se battre avec Esterhazy et décline l’arbitrage d’un jury d’honneur, 516. — Enquête de Bertulus sur les faux Blanche et Speranza, 522-523. — Dénonce Esterhazy et Du Paty comme les auteurs des machinations ourdies contre lui, 523 et note 1. — Rapport de Guénée contre lui ; la photographie de Carlsruhe, 609 ; appendice, 651. — Dépose une plainte en faux contre Possien, qui prétend avoir vu la photographie, 609 et note 4. — Enquête de Roget sur le Petit Bleu : découverte du grattage, 610-611. — Mis par Trarieux au courant des confidences de Christian Esterhazy, 615. — Conclusions de l’enquête Ber-