Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/243

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
235
INDEX GÉNÉRAL

graphie faite par Guénée le représente en compagnie de Dreyfus, III, 14.

Schmidt (Paul), agent d’affaires. Verse à la Cour de cassation une lettre d’Esterhazy sur papier pelure identique à celui du bordereau, II, 51, note 5 ; IV, 362.

Schneegans, général. Stoffel lui fait le récit de son entretien avec Boisdeffre au sujet du bordereau annoté, I, 349, note 3 ; VI, 325.

Schneider, colonel, attaché militaire d’Autriche-Hongrie. Raconte à Émile Picot comment Schwarzkoppen écrivit le Petit bleu, II, 244, note 1. — Le brouillon d’une de ses lettres, dans laquelle il déclare croire Dreyfus coupable, est falsifié par Henry, III, 47-49. — Se convainc de l’innocence de Dreyfus, 49. — Cité par Zola comme témoin, 303. — Sa lettre au Figaro démentant les déclarations de Mercier à Rennes au sujet du brouillon, V, 386 et note 3.

Schneider (Eugène), député. S’abstient dans le vote de réintégration de Dreyfus, VI, 489, note 1.

Schœnebeck-Winibaldus (Maximilien-Joseph von), lieutenant. Arrêté à Paris en 1894 et condamné pour espionnage ; négociations du bureau des Renseignements avec lui, V, 489, notes 1 et 2. — Son prétendu entretien avec Cernuski : il lui aurait affirmé la culpabilité de Dreyfus, 461, note 1, 472, 487, 488, note 1 : VI, 358.

Scholl (Aurélien), homme de lettres. Interrogé par Lépine au cours de son enquête sur Dreyfus, I, 261, note 1.

Schwarzkoppen (Von), colonel, attaché militaire allemand à Paris. Dirige le service d’espionnage ; ses relations avec Panizzardi, 1, 20. — Emploie les mêmes pseudonymes que Panizzardi, 31 ; appendice, 601. — Renseigné par l’« homme des forts de la Meuse », 30. — Tient Munster dans l’ignorance de ses pratiques, 31. — La lettre Canaille de D…, 31, appendice, 577-582. — Prend Esterhazy à son service (juin 1893), 47.II, 71. — Reçoit de lui des notes sur les séances du Comité d’artillerie, 73. — Ses rapports avec Esterhazy, I, 48, 242. — Ne le nomme ni à Panizzardi ni à Munster, 242, 254. — Rompt avec lui en juin 1894, II, 90. — Reçoit, au retour d’un voyage en Allemagne, les notes énumérées au bordereau ; les communique à Panizzardi, 114. — Son inquiétude à la nouvelle de l’arrestation d’un officier ; il se rassure en apprenant qu’il s’agit de Dreyfus. 116 : I, 242-243. — Déclare à Panizzardi qu’il ne connaît pas Dreyfus, 243. — Télégraphie aux autres attachés militaires allemands, 244. — Fait déclarer par l’ambassade qu’il n’a jamais eu de relations avec Dreyfus, 253-254. — Annonce à son État-Major, après l’arrestation de Dreyfus, l’envoi de nouveaux documents, 290. — Ses visites au colonel de Sancy et à Davignon, 299, 354. — Constitution du dossier secret : le mémento, 352. — La lettre Davignon, 353-354. — La pièce Canaille de D…, 355-357. — Rencontre Du Paty chez Mme d’Orval, 354, 541. — Lettre que lui adresse Munster au sujet de l’Affaire, 543, note 3. — Reprend ses relations avec Esterhazy, II, 143. — Lui verse plus de cent mille francs au cours de l’année 1895, 144. — Le brouillon d’une lettre où il nomme Dreyfus et Boisdeffre est porté à l’État-Major par la Bastian, 220-222. — Surveillance exercée sur lui par Picquart, 230-231. — Ses rap-