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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/259

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INDEX GÉNÉRAL

559-560. — Fait part à Méline de ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, II, 528. — Son attitude lors des élections de 1898, III, 579 et note 1. — Son intervention au Sénat en faveur de l’ajournement du procès Picquart (séance du 1er décembre 1898), IV, 408-409. — Engage Joseph Reinach à demander l’ajournement de son procès avec Mme Henry, 526. — Son discours contre la loi de dessaisissement, V, 17-21. — Ses inquiétudes sur l’issue du procès de Rennes, 137. — Informé par Joseph Reinach de l’entrevue de celui-ci avec le P. Du Lac, 149, note 1. — Chargé par Loubet de constituer un cabinet, 161. — Son entretien avec Joseph Reinach : il est favorable à l’idée de faire entrer un socialiste au ministère, 162-166. — Fait offrir à Galliffet d’être son chef de cabinet au ministère de la Guerre, 167. — Difficultés qu’il rencontre ; sa lettre à Joseph Reinach, 171 et note 2. — Exigences des modérés ; il renonce à former un cabinet, 171-172. — Rappelé par Loubet ; nouvelle combinaison avec Galliffet à la Guerre et Millerand au Commerce (22 juin 1899) ; constitution du ministère, 174-175. — Attaques de la presse contre le ministère, 177-178 et note 1 ; 179, note 2. — Premières mesures : la « défense républicaine », 185-186. — Séance du 26 juin 1899 : déclaration ministérielle, interpellations Roche et Mirman ; son discours, 187-192. — Mesures prises en vue du débarquement de Dreyfus, 204-205. — Ses déclarations au sujet de la lettre de Galliffet contre les représailles, 213, note 1. — Rédige les instructions de Galliffet à Carrière, 229 et note 3. — Accusé par les adversaires de Dreyfus de vouloir étouffer les débats du procès de Rennes, 231-232. — Nouvelles menées des royalistes et des « patriotes », 251-255. — Réclame les papiers saisis chez les royalistes et dans les ligues après l’affaire de Reuilly, 256. — Propose au conseil des ministres de déférer les meneurs à la Haute-Cour (10 août 1899), 309. — Arrestation des inculpés, 310-311. — Impression produite par cette mesure, 312-313. — Démarche de Joseph Reinach auprès de lui, au sujet des poursuites à exercer contre Mercier en raison de la déposition de celui-ci à Rennes, 337, note 1. — Ses instructions à Duréault et à Viguié, 345. — Accusé par la presse antisémite d’avoir machiné l’attentat contre Labori, 362, note 3. — Refuse de prendre des mesures contre Carrière et Chamoin pendant le procès de Rennes, 418-420. — Siège du « fort Chabrol », 423-427. — Ses tentatives pour obtenir du gouvernement allemand les notes du bordereau, 452-453. — Lettre du comte de Bülow, 453-454. — Instructions qu’il fait donner à Carrière au sujet du huis-clos, 484. — Sa lettre à Joseph Reinach à propos des témoignages de Schwarzkoppen et de Panizzardi, 485, note 1. — Prévoit la condamnation de Dreyfus ; annonce qu’il en appellera à la Cour de cassation, 520, 536-537. — Lettre qu’il reçoit de Galliffet à ce sujet : le « ministère de l’acquittement », 537 ; appendice, 579-581. — Confère avec Mornard après la condamnation de Dreyfus, 538-540. — Démarche de Joseph Reinach auprès de lui au sujet de la grâce de Dreyfus ; la grâce ne peut avoir de valeur morale que si elle est immédiate : pourparlers avec Millerand et Galliffet, 548-549. — Conseil des ministres du 12 septembre 1899 ; ajournement de la grâce, 560-561. — Lettre que lui adresse Galliffet au sujet de l’amnistie : « les portes de l’oubli », 563. — Signature du décret de grâce, 565. — Ordre du jour de Galliffet : « l’incident est clos », VI, 3, 4. — Se décide à l’amnistie ; ses entretiens avec Joseph Reinach et Zola à ce sujet,