Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/41

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cusé d’avoir livré un plan à l’Allemagne, II, 235-237. — Accusation portée par Henry contre Picquart à propos de cette affaire, III, 368. — Poursuites intentées par Cavaignac à Picquart et à Leblois, IV, 41. — Dépositions de Picquart et de Leblois à l’instruction Fabre, 99, 113. — La connaissance de cette affaire est laissée au Conseil de guerre, V, 23, 141.

Bouqueiro, commandant. Auteur de fiches sur divers officiers, VI, 402, note 4 ; 409, note 2.

Bourbon Lignières (de). Souscrit aux listes rouges, IV, 441.

Bourdeaux, lieutenant-colonel, sous-chef de cabinet du général André. Accusé de faux par Cuignet, VI, 388.

Bourdon (Georges), rédacteur au « Figaro, » secrétaire adjoint de la Ligue des Droits de l’homme. Traite Mercier d’assassin à la sortie d’une audience du procès de Rennes, V, 336. — Son arrestation, 336, note 5.

Bourgeois (Émile), historien. Signe la pétition en faveur de la revision, III, 245.

Bourgeois (Léon), député de la Marne. Chargé par Félix Faure de constituer un cabinet (janvier 1895), échoue dans ses négociations, I, 560. — Président du Conseil et ministre de l’Intérieur (novembre 1895), II, 181, note 1. — Confie à Félix Faure ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, 182 ; prévoit la revision, III, 5. — Son indécision pendant la crise provoquée par l’Affaire, 34. — Son discours sur les influences cléricales dans l’armée (séance du 16 novembre 1897), 34, note 3 ; IV, 415. — Son discours à Royat contre la revision, III, 328 et note 1. — Intervient dans les débats soulevés par l’interpellation sur la politique de Méline (séance du 12 mars 1898), 569 et note 2. — Son discours à Lyon (avril 1898) ; incident Réveillaud, 580. — Ministre de l’Instruction publique dans le cabinet Brisson (juin 1898), 633, note 3. — Invite Bouchor à modifier le poème composé par lui à l’occasion du centenaire de Michelet, IV, 51. — Suspend le doyen Stapfer de ses fonctions, 129-130 ; attaques que cette mesure lui vaut de la part des revisionnistes, 130, notes 1 et 3. — Efforts de Félix Pécaut pour l’amener à la revision ; sa dépêche de condoléances lors de la mort de Pécaut. 133-135. — Absent de Paris au moment des aveux d’Henry, 201, 206 ; son retour ; conseils qu’il donne à Cavaignac, 235. — Cherche à convaincre les ministres de la nécessité de la revision, 256-257. — Fait donner le porte-feuille de la Guerre à Chanoine, 268. — Son rôle aux Conseils des ministres des 24 et 25 septembre 1898, 292-293. — Signe le manifeste des groupes républicains contre la loi de dessaisissement, 542. — Offre à Loubet la candidature à la présidence de la République, 555. — Sollicité par Poincaré d’accepter un porte-feuille ; son refus, V, 157. — Se rend à la conférence de La Haye, 157 et note 1. — Décline l’offre que lui fait Loubet de constituer un cabinet (juin 1899), 173 et note 2 ; 174, note 1 ; 176, note 2 ; retourne à La Haye, 192.

Bourgeois, député du Jura. Dénonce l’alliance du ministère Méline avec la droite (séance du 14 juin 1898), III, 629.

Bourget (Paul), de l’Académie française. Adhère au manifeste de la Ligue de la Patrie française, IV, 502, note 1. — Sa
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