Page:Joseph Rosny - Firmin ou le Jouet de la fortune, 1798, II.djvu/22

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veurs d’une jolie femme, et les remords d’avoir fait un prétendu attentat aux loix de la reconnaissance ![1] vous faites consister l’honneur à respecter les droits d’un homme à qui vous croyez avoir des obligations ! en vérité cette belle retenue est digne d’un nouveau Celadon tel que vous ; et même vous ne mériteriez pas que je prisse la peine de vous ouvrir les yeux ; cependant comme j’ai résolu de me charger de votre instruction, je veux bien vous

  1. Je prie mon lecteur d’observer que cette morale indulgente se trouve dans la bouche d’une courtisane. Je laisse aux vertueuses mères de famille le soin de la réfuter.