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LE JOUR DE L’AN AU CIEL

Et d’ailleurs, qu’auraient pu des jouets devant cette détresse que vous seul, puissant et généreux Jésus, pouvez guérir par un miracle. J’aurais pensé à cela tout de suite, n’eût été l’émotion qui troublait mes idées.

Après un moment de réflexion, j’envoyai près d’elle un de mes anges, lui enjoignant d’en avoir bien soin tandis que je viendrais vous supplier de la secourir.

Le Père éternel, qui de son trône resplendissant avait tout entendu, dit :

— J’ai vu les larmes de cette enfant. J’ai entendu le cri de sa douleur et de sa confiante prière !