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Page:Josette - Contes de Noël, 1889.djvu/147

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LE DERNIER BIBERON

chant avec soin, sous sa fenêtre, parmi les balayures, un petit objet perdu, pleurant presque, à l’exemple de bébé, à la pensée que le vilain chat aurait bien pu en effet le manger.

Et, le vieux biberon disgracié, exhumé avec honneur, devint une précieuse relique.