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des vérités les plus sacrées et les plus indubitables.
C’est le sacerdoce, c’est-à-dire un état où il y avait beaucoup de méditations et de loisirs, qui donna à la littérature hébraïque son existence et sa perfection.
Sans les allusions à la bible, il n’y aurait plus, dans les bons livres écrits en notre langue, rien de familier, de naïf, de populaire.
La sainte écriture est aisée à traduire dans toutes les langues, parce qu’on n’a besoin, pour y parvenir, que de mots communs, populaires, nécessaires, et qui, par conséquent, se trouvent partout.
Pour traduire la bible, il faudrait des paroles spacieuses ; des constructions où rien ne fût ni trop bien joint, ni trop poli ; des mots et des phrases qui eussent un air de vétusté.