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la table est une espèce d’autel qu’il faut parer les jours de fête et les jours de festin.
Dans les festins, il suffit d’être joyeux pour être aimable.
Les repas du soir sont la joie de la journée ; les festins du matin sont une débauche. Je hais les chants du déjeuner.
Ni pour son plaisir ni pour le nôtre il ne faut avoir pour commensal habituel un excellent convive ; il nous blase et nous le blasons.
Il y a dans la sobriété de la propreté et de l’élégance.
On n’aime pas la tempérance où la vertu n’entre pour rien.