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JOURNAL DE MARIE LENÉRU
130 JOURNAL DE MARIE LENÉRU
Je me souviens d’une séance au Crédit Lyonnais où je n’avais fait que les frotter. Ce jour-là, nous avions acheté des vues, des objets et des livres. Et nous avions rencontré M. R. qui rentrait en voiture. Comme il ventait beaucoup, j’avais passé une journée à lire dans le salon, M. Boucheron m’agaçait assez en me forçant à marcher. Et les gamins qui regardaient aux vitres !
FIN
