Page:Journal asiatique, série 2, tome 4.djvu/465

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(401) rager, autantquîl est en-vous, un zèle trop are parmi les voyageur», de faire connaître, par la voie de votre journal, avec quelle satisfaction vous ave ! vu le succès de recherches dont vous avez toujours suivi les progrès avec un vif intérêt.

Rapporteur le Dictionnaire français arabe d'Ellious Bocthor, revu et augmenté par M. Caussin de Perceval fils (1).

LA langue arabe, dans laquelle il existe tant et de si imponans ouvrages, et qui nous  : conservé plusieurs des traités de philosophie, de médecine, de nu thématiques et d’astronomie de fentiquiui, est encore une de celles qui se parlent sur uneçfi vaste étendue de pays, et dont laeonnnismef-‘ut des plus utiles. Ou s’en sert non seulement en Arabie, mais en Syrie, en Égypte, sur les côtes d’Aû-ique et en Mésopotamie. Elle est même wurde : principaux liens de communication dins l’incident de l’Afrique, dans une partie de la Perse et dins quelques îles de la mer des Indes.

La langue arabe ne doit pas seulement ses progrès à l’avantage d’avoir été fidiome particulier du peuple qui, à partir du vn.’siècle de notre ère, conquit successivement une si grande partie du globe {elle a, aux yeux des diverses nations musulmanes, le m6-

(1) Puis, Firmin Didoty 9 vol. in-4.