Page:Jouy - Les Chansons de l’année, 1888.djvu/112

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Ça va geindre dans un hospice :
Chair à savant !
Enfin, ayant vidé la coupe.
Bu tout le fiel,
Quand c'est crevé, ça se découpe :
Chair à scalpel !

Patrons! Tas d'Héliogabales,
D'effroi saisis
Quand vous tomberez sous nos balles :
Chair à fusils !
Pour que chaque chien sur vos trognes
Pisse, à l'écart,
Nous les laisserons vos charognes :
Chair à Macquart !

LES BRAILLARDS <0p !nten d’un MU.) Atn M t’Met-) :<e)’bon Dieu tt’ tout. Quoiqueignorant, je l’ proetame, Les hraittards Mt’font débaUer : En général, quand on brame, C’est pare’ qu’on n’ sait pas partet. Quand un, qui veut s’ faire élire, ihtdeettn’aiUetantetphts ; i J’ suis toujours tenté d’ tui dire Tais ta gueule,ou j’ m’asseois<"ssus !(~) T