Page:Jouy - Les Chansons de l’année, 1888.djvu/313

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À mon ami Jean Floux

LE MUR

Tout au fond du grand cimetière,
Défunts par les vers dépouillés,
Sous les herbes, verte litière,
Dorment les anciens fusillés.
Cachant les trous de la mitraille,
Couronnes et drapeaux, serrés,
Ornent la sinistre muraille,
Dernier abri des fédérés.


Tombe sans croix et sans chapelle,
Sans lys d'or, sans vitraux d'azur,
Quand le peuple en parle, il l'appelle
Le mur.