Page:Juigne - Dictionnaire historique (1627) - CERASU-HEREF.djvu/171

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

.,,

."

IOJ9 .

E.S

E.S

JO~~'>

cuilirc, comme auffi quclquct pierres

Jacques Vl. dernier Roy d•Efcôa’~ ·- · ~ precieu(cs, comme l’Agathe qui brufle L’Efcolfc e(l diuifée en deux parties, . âans l’eao & s ’c :Œeind auec l’huile. En fçauoir la ,Mcridionalle & Septentrio-Gallouidie y . a Yn lac nommé M.zr.toNn nalc : par le montGranpius vulgaîremuit. lequel en Hytie.{ .fe gcle d’vn cofté, & dia Gr•sbtin. Ses villes principales fonr iamais de l’autre. ·En la Prouince de· Edimbourg qui c :ft fa capitale, S. An. Coy ! ya Ync pierre haulte de u. pieds, dré, & Abredon où il y a des Vniuedi- . les habitans l’<tppellent la pictre fourde tcz ;Stc :rlinguc où fe tienncndes Efü1ts · 1 & 0011 fans caufc ; car fi quelqu’vn y fait du Royaume, Glafquou,& c. Le peuple · quelque broiét quand cc fc :roit mc :fme d’Efco !fc : et party en troisordrcs, ~ d’vne arquebufc,ccl" !)’ qui eft de l’autre clefiaftiqucs.,Noblc :s ,& roturiers : L·Eccofté de la pierre à l oppofitc : ne l’enclefiaftique y a deux Arclieuc :{chc :z : S. tendra point s’il n’en dl : bicnefloigné. André Primat d’.Efcolfe qui a hui& Au -grand lac de Loumond qui dl : en · Eucfques pour fuffragants : & GJafquo.u · Len nos fe voyc :nt des poiilons fans arequi en a çrois. Oru/. M trc•r.

.

fics. n 1 a auili vne rne flottante 1aque1- Efcoffois peuples _de ceu~ partie .. le dl : .toufiours tnené. : çà & là ,par les Septenmonalc d :Anglc-.

vents, & nc :antmoins elle nourrit par fa terre, ont îadis tiré leur origine de la · fertilité force beftail. Il y a vne certaine Scy chic ou Sarmatie : Européenne fc :pierrc en Argadic : qui cftant mife entre Ion quelque~ vns , ou bien des Irlan-

de la paille & des dlouppcs s’allume dois corne a etlé diét. .Ammian les faiét incontinent. L’on tient que les Efcoforiginaires de Bifcayc : , qui pa.tfcrent fois vinrent premieremc :nt d’Irlande en ; premierement en Irlande. L’on lc :-s apla Grande Bretagne pour en decballèc pel~oit iadis Piétcs pour ce qu’ils fo peiles ancic :nshabitans,mais qu’iceux cfüis gnoicnt Je corps de diuc :rfcs çouleurs, affiftc :z des Saxons les contraignirent de toutefois l’on en faiél : deux nations fefé , retirer és cxtremitcz de l’lfic :,où aprcs parées , lcfquc :ls vill_oic :nt comunérnent il1 mulriplic :rcnt de telle forte qu’ils cri- de chair humaine, & particulic :remc :n.t gacnt le Royaume d’Efco !fc : feparé de les Efcofi’ois qui en eftoient 6 fri.tnds celuy d’Angleterre. Leur Royaume tou-

. que trouuans d~ Bergeres aux champs

tefois n’a commencé à continuer fans

ils coappoient de leurs fdfes,& mam-

intcrruption auec tc :fmoignagc d•au-

meUcs pour en manger. S .Hurofme/i.1 . thcurs approuuez, qu’en Edgar fils de contr, /ouiniAn. Ils auoient cntr’c :u.x les Malcolin lequel fut lcpremic :r facré & femmescomunes. Obferuoicnt cllroicouronné Roy du pays , du temps de dement la Jifciplinc militaire ,. car fi notlre Roy Philippe I. il n’y a guc :re quelqu’vn s’en alloit fans congé du

plus de soo. ans. M aior liH-3, ch11p. u. camp, le premier qui le rcncomroidc

Aèhaius leur Duc fut le premier qui pouuoir tuer impunément : les fempottr rcfiier à l’opprc :ffion des Anglois mes s’enroolloient auffi pour aller àla fc :ift alliance auc :c les François du reg ne guerre, pouruc :u qu’elles ne fulfent ende Charlemagne qui pour cc fujet con-

cein~c :s ou trop aagées. Ils alloic :nt fcnrit qu’il entremenaft des fleurs de Jys tcftc : & pieds nuds pour s’endurcir à . en fes armes : & depuis cette amitié a toutes fortes d’incomoditez. Leur gifte efté inuiolablemcnt continuée entre les ordinaire dloit à terre ou fur vn baac François & Efcolfois. Us ont eu de Ionauec vne paillalfe ; l’eauë pure àla guc :rgucs guerres auec les Anglois & auc :c _re leur feruoit de boilfon, & quelque diuers fi,ccez. Cc Royaume dl : de pre- peu de farine pour palfc :t la.iournéc. Ils ·-f lUlt YDJ -à cc :luy d·AogJcteue • depuis ..fe fcruoient de lettres Hieroglifiquc :s