Page:Juigne - Dictionnaire historique (1643) - A-HYR.djvu/115

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l6y AL - piriiere êc Académie tres célèbre aux premiers Docteurs de l’Eglise, ayant produict des Saincts ôc grands ; personnages , Clément, Origene, Ambroise,.. 3philon, luis, Didynie ; Appian Grammairien, Appian l’historien, Stace,Ptolemée, ôc autres. En cette ville, S. Atha>na íëfist tenir deux Conciles contreles Arrieiis,-és années agz.&c -$6y Baron. Annal. 36T. & y Áuimian Marcellin nous dict, Que ses habitans íbntfort dissimulez, trompeurs ôc querelleurs.

Il y a plusieurs autres villes de mesme 

nom, qui ont esté basties parle Grand Alexandre en diuérses contrées mentionnées par Pline, P toi. Arrian, Curce, Strab.rjf autres. Aíexandropolis g ;^ ; Parthes,en la noble contrée deNaistan ou’Nissëa, ainsi norntriée du Grand Alexandre son fondateur òu. restaurateur , selon d’autres. Pline lin. 6. ch. 25. Àlpy/aç ^c ï-a°dicée } pour auoir" Xl.lCA.cl» ;cauCé lediiiDrcecntreMarc Anthoine ôc Octauia fa femme, ôc traméles amours lascifs de luy,,6c de Cléopâtre, fut tres-griefueiiient puny, par le commandement deCeíàr, de fil perfidie.. FylutaY.q..in U vie d’Anthoine. Afexìcacos, ìtftffî flfaT Chajje-raal , tut appelle le Dieu Apollon,.pour-auoir appaifé la peste qui infectoit toute la contrée d’Attique,,apres laguerre.Peloponesiaque. Pmfan.en l’Efiat d’Attique. Ce,, nom fut aussi donné à Hercules ,, pour- auoir repurgé la terre de motii. stres ôc tyrans. Et de mesme à certainSi-D’enionsrelierezdes Anciens, autrement npmmez’Apopompées,ôc kpotropées, , lesquels estoient creus déstourner les infortunes ôc niauuaife> rencontres. Coel.liu.z<chap. 10. - ÁlieXie OU AI<îíîè ;,^oii, Aíîíi :b., ville ia* "^"

di&.íituée au pays ôc Bailliage : djAuxois :. aux-, confins ;dâDuelié ôc ÀL

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Comté dé Bourgongne, qui fut fondée par le Grand Hercule surnommé Ogmius (que Berofë, Diodore Sicilien, ôc autreSj.asseurent auoir régné en Gaule, Fan du monde 1140. ) pour estre Métropolitaine dé toute la Gaule ; apresauoir aboli dans ce pays là, leur cruauté barbare de sacrifier les estrangers, Diod. Sicil. liu. .& y chap. n. L’on la tenoit iadis imprenable,estant assise au sommet d’vne montagne, ôc flanquée dedeux,riuieres ; mais Ceíar la prist, bien qu’auec grand"peine,ôcla ruina. de telle-façon, qu’il n’en reste de présent qu’vn petit bourg ou village auprès de Fauigny nommé Alizé ,. qui a vne Eglise dédiée à Saincte Reyne , où il y a vne fontaine qui guérit miraculeusement de plusieurs maladies. Cesar la met au pays des Mandubiens.. liu. y. défies Comment. Monfi. liu. defii Cofinographic. A ípY"iÇ treibeílHseunegarÇon-- qu’AsiriiusPollio son maistre donna à Virgile , qui en estoit deuenu amoureux,ôc en faneur duquel-il composa sâ seconde Eclogue. Seruius. Alwìnc ou Alexis Comnene,. fils, XVLC.X.1U> de i’Enipercur i(aaC) cnuahitl’Empire de Constantinople fur Nicephore, l’an de salut 1081. Trauerseles desseins des François estans fous lai códuicte deQodcfroy deBbiiillonpour," le recouurement de la Terre Saincte : Mais en fin esteontrainct de leur fournir de viures, Ôc autres choses nécessaires. ’"." epuis il s’addonna à fonder Collèges ôc Hoípitaux. Fut fortmoderé cn.ses actions, ôc amateur des hommes, doctes ôc vertueux : Meurt, d’vne Ion ? gue maladie,apresauoir regné.37. ans,, aágé de 70. Onuphrius. A ífYincTT *^s de-Manuel5, tintv JTVICAIUÍ» 11. FEmpiredéConstantinopfe apres luy-. ,1’a-ivíi8b. soubs Andronicsoncousiiigermain, qui fritsori : tuteur,,puis-son compagnon àl’Empi» re. j ;. & en fin. fan, meurtrier,, car. il. là ;