Page:Jules Vallès - L'Enfant.djvu/26

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Je me rappellerai toujours ces bois sombres, la rivière frissonnante, l’air tiède et le grand aigle…

J’avais oublié que j’étais le cœur battant contre le dos de la Polonie. Elle-même, ma cousine, semblait ne penser à rien, et je ne me souviens avoir entendu que le pas du cheval et le beuglement d’une vache…