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AVERTISSEMENT
DU TRADUCTEUR.
J’ai trouvé, dans une Encyclopédie chinoise, les Contes et Apologues indiens que j’offre aujourd’hui au public. Cette découverte inattendue, amenée tout à coup par de savantes questions de mon honorable ami, M. Antoine Schiefner (membre de l’Académie des sciences de Saint-Pétersbourg), témoigne hautement des richesses de la littérature chinoise, trop négligée aujourd’hui.
Parmi les douze sections des livres bouddhiques, il en est une appelée Pi-yu, « Com-