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transformé en Çraman’a[1], et lui dit : « Cette tortue, ayant une cuirasse qui protège sa vie, la loutre affamée n’a pu saisir l’occasion qu’elle cherchait. »
— Je pense, dit le Çraman’a, que les hommes n’ont pas la prudence de cette tortue. Ils ne songent point à la mort et s’abandonnent aveuglément aux six affections[2]. Les démons du dehors profitent de cette occasion. Le corps de l’homme périt et son âme l’abandonne.
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-kiu-pi-yu-king.)