Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/24

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sieurs pièces d’un caractère original qui pourront donner, par avance, quelque idée du goût et du genre d’esprit qui règnent dans les fables purement chinoises[1]. J’y ai ajouté une légende pleine d’intérêt, des poésies et des nouvelles chinoises.

Ces traductions, qui sont pour moi un délassement des travaux difficiles et pénibles qui m’ont occupé depuis plusieurs années, ne retarderaient pas d’une manière sensible la continuation des Voyages des Pèlerins bouddhistes, dont le troisième volume, qui termine les Mémoires de Hiouen-thsang sur l’Inde, a paru le 20 novembre 1858.

Stanislas Julien.
  1. Ces fables sont tirées d’un Recueil in-18 en 4 volumes, intitulé Siao-lin-kouang-ki « La forêt des contes pour rire. »