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Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/256

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de sorte que j’ai mangé en pure perte les six gâteaux précédents. Puisque une moitié de gâteau pouvait apaiser ma faim, j’aurais dû commencer par la manger. »

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fe-yu-king, le Livre des cent comparaisons, partie I.)