Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/260

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Il revint promptement chez lui et dit à son fils : « Fouettez-moi le dos comme il faut ; j’ai trouvé un remède admirable dont je veux faire l’essai sur moi-même. »

Le fils lui administra sur le dos de vigoureux coups de fouet, puis il étendit de la fiente de cheval sur les blessures de son père qui était heureux d’avoir trouvé un remède d’une efficacité merveilleuse.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Livre des cent comparaisons, Pe-yu-king, partie I.)