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Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/164

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CXXV

LE CHAT ET LES SOURIS.


Un homme, pour s’amuser, avait attaché un chapelet au cou d’un chat. Les souris se félicitèrent entre elles et dirent : « Ce respectable chat jeûne et prie le Bouddha ; décidément il ne nous mangera plus. »

En disant cela, elles se mirent à danser de joie dans le vestibule. Dès que le chat les eut vues, il en croqua plusieurs de suite.