Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/178

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et ils ne se sont point aperçus que Mou-lân fût une fille.

On reconnaît le lièvre qui trébuche en courant ; | on reconnaît sa compagne à ses yeux effarés ; | mais quand ils trottent côte à côte, qui pourrait distinguer leur sexe ?