Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/28

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Il ouvrit le filet et mit sa prisonnière en liberté. Celle qui avait poussé des cris douloureux ressentit une vive allégresse, et suivit, d’une aile légère, la troupe des cinq cents oies. Celles-ci, tantôt précédant, tantôt suivant leur reine, l’entourèrent avec respect, s’élancèrent dans les airs et disparurent.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-fang-pien-fo-pao-ngen-king, livre II.)