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Page:Kahn - Le Roi fou, 1896.djvu/255

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aux tièdes serviteurs de sa puissance, et aux hostiles criailleurs, le lamentable spectacle d’une Majesté désarçonnée.

C’était donc fidèle à sa dynastie, à son établissement de roi, à sa responsabilité envers les siens de l’avenir, et à sa solidarité avec les siens du passé, qu’il s’incorporait dans la forte ligue des rois pour défendre et imposer un absolutisme tempéré et, presque sereinement, il se rendit à la grande revue de Gevehrstadt, donnée en son honneur, signe officiel de la nouvelle alliance.