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Page:Kahn - Le Roi fou, 1896.djvu/278

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pour longtemps, et qui longtemps geignantes en un craintif rhembasme, apparaissent un jour de total esclandre dans le bruit formidable de crécelles géantes, en de hourvariques ébrouements. C’est alors sous les torches livides, les heures terribles où les petites monarchies vieillotes, et démodées qui esquissent encore de fantomatiques menuets, sur des souvenirs d’ariettes anciennes, tombent au heurt des cognées sur les portes et les détonations des fusils de chasse, ce jour-là, armes de guerre.