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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/110

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II

Qu’importe ta douleur à ma douleur
Ta pâleur à mes languides couleurs
Et ta seconde trépidante à ma mort essentielle.

La phtisie des soirs est le frêle encensoir
De tes rythmes hâtifs et des bras étendus,
Tes infinis sont en mes ciels,
Tes insomnies aux moments de mes soirs,
Où tes sens flocons appendus.