Page:Kahn - Symbolistes et Décadents, 1902.djvu/111

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putride, et s’enlise. C’est ce qu’il faut voir à travers les mots religieux de péché, de Satan, et les apostrophes à un Dieu ; Baudelaire n’a rien d’un croyant, il était au contraire plein d’amour, et l’amour dut se taire devant les voix indifférentes ou mauvaises des choses.