un seul peut suffire. Mais le critère· certain des qualités héréditaires comme signe d'autant de races, a <l$è été indiqué. ? reste encore à remarquer quelque chose des variétés héréditaires qui fournissent une occasion de dénommer telle variété humaine ou telle autre (de famille ou de peuple).
Une variété est la propriété héréditaire qui ne sert pas à classer, parce qu'elle ne se produit pas inévitablement; car il faut cette constance du caractère héréditaire pour justifier, même au point de vue de la description de la nature, la division par classes. Une forme qui, dans la reproduction^ n'offre qu'accidentellement le caractère des parents lès plus proches, et même le plus souvent que d'un côté (paternel ou maternel), n'est pas un signe où l'on puifese reconnaître la provenance des deux parents, par exemple, la différence des blonds et des bruns. La race ou la variété est donc une propriété qui passe inévitable-ment d'une génération à une autre, qui peut sans doute servir à une division par classes, mais qui n'est cependant pas spécifique, parce que la ressemblance inévitablement moyenne (par conséquent la fusion des caractères de la distinction) permet au moins la possibilité de regarder les différences héréditaires comme ayant aussi leur origine dans la souche, où elles se trouvaient réunies comme en germe, et qui ne se sont séparées et développées que peu à peu à la