Page:Kant-Mélanges de Logique (trad. Tissot), 1862.pdf/424

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se former. Aneei la ·de8eeB*^^yi^>ey^;#bate^ /oiine eat renfermée dtav tesHmitolde4?i«fai«rti eUMnlte, peuétoigoéedeiài1^ • m très-grande partie semblable, n'etrTOttfehae^otol', mais ces deux contrées ne contiennent pas ctaft^ttff; on n'en trouve. qn?en Afrique entreie Sénégal ïtte çap Négro{a ainsi de suite dans l'intérieur ? dette partie du monde), tandis que VAmérique entière te présente ni des uns ni des autres; ëi mémfe auéut-des caractères des races de l'ancien monde (le*Esquitoato exceptés, qbi semblent être, d'après difféanite éatfe-tères de leur forme et de leur talent, des étrangère tard venus de quelque partie d0 l'ancien inonde^. Chacune de «es races est' en quelque sorte teflée^det eomme elles se distinguent cependant le* Me* tes autres dans le même climat, et même par un carac­tère qui tient inséparablement à la faculté reproduc­trice de chacune d'elles, l'opinion qui fait dériver le caractère de l'influence du climat en devient très-peu vraisemblable; on y trouverait bien plutôt la con­firmation d'une parenté perpétuelle par l'unité de dépendance, mais en même temps la confirmation d'une cause intrinsèque, et non simplement dans le climat, de la distinction des races, distinction qui doit avoir exigé beaucoup de temps pour s'effectuer en conséquence du lieu devenu le théâtre de la propa­gation ; mais une fois cette distinction effectuée, plus