Page:Kant-Mélanges de Logique (trad. Tissot), 1862.pdf/426

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révolution terrestre, qui doit, a'éfre opérée <fe l'e* à, l'ouest), de quitter leurs établiaeeD^jts* Quoi quty enaoitcieaii^itoaUd^rUed^ Ffc^/??, dont, j'ai eue de mémoire (peuWêtre mfidfUement) ce qu'eu *.<tjt Cçrteret, il faudra chercher les ?????&f? déyetep-pement des différences d# «aces, an çiége pnkuinaWe, dp leur souche sur le continent, ?,??? doua les (les, cjvit suivant toute apparence, n'ont été peuplées f* très-longtemps après l'effet accompli de la nature.

Assez pour la justification de mou idée de la dé­rivation de la diversité héréditaire des crlalywe ôt* ganigêes d'une.seule et même espèce ixmrdlç (tpecies iutturalis), en tant qu'elles sont liées par tau faculté de se reproduire, et qu'elles sont FwueMlooç souche unique[1], à la différence de Vespè&hgi* que (species artifwialis),zn tant que les êtres qui s'y trouvent compris sont soumis à un signe commun de

  1. Le fait d'appartenir à une même souche D'est pas la même chose, qu'être procréé d'un seul couple primitif; être de même souche signifie seulementque les diversités qui se rencontrent maintenant dans une cer­taine espèce ne peuvent pas être regardées par cette raison comme au­tant de différences originelles. Quel que soit donc le nombre des personnes (des deux sexes) qui ont constitué la première souche hu­maine, pourvu qu'elles aient été toutes de la même espèce, je puis aussi bien faire descendre les hommes d'aujourd'hui d'un seul couple que de plusieurs. M. Forster me soupçonne d'avoir voulu affirmer ce dernier point comme un fait, et même en me fondant sur une auto· rite. Mais il n'y a là que l'idée qui découle tout naturellement de la théorie. Quant à cette difficulté, que le genre humain eût été fort mal assuré par un seul couple primitif, exposé qu'il était aux animaux fé­roces, ce n'est pas là pour lui une difficulté particulière ; car sa terre, abondante en toutes choses, a pu ne produire ces animaux qu'après les hommes.