comme Jugement réfléchissant (au moyen d’un principe subjectif), et non comme Jugement déterminant
(conformément à un principe de la possibilité des choses eu soi), de concevoir, pour expliquer la possibilité
de certaines formes de la nature, un autre principe que celui du mécanisme de la nature.
Nous ne pouvons démontrer l’impossibilité de la production des êtres organisés par un simple mécanisme de la nature, car nous ne pouvons apercevoir dans leur premier principe interne l’infinie variété des lois particulières de la nature, et, par conséquent, nous sommes absolument incapables d’atteindre le principe interne, et suffisant à tout, de la possibilité d’une nature (lequel réside dans le supra-sensible). qu’on ne demande donc pas si la puissance productrice de la nature ne suffit pas aux choses dont nous jugeons la forme ou la liaison d’après l’idée de fins, tout aussi bien qu’à celles pour lesquelles nous croyons pouvoir nous contenter d’un simple mécanisme, et si, en réalité, les choses que nous considérons comme de véritables fins de la nature (que nous devons nécessairement juger ainsi) ont pour principe une