étends ta main sur un seul des habitans de cette cité protégée par Dieu, le Très-Haut te frappera de sa foudre ; et le ciel, à la terreur du tyran, se couvrit aussitôt de nuages. » Mais c’était pendant l’hiver, et les nuages de cette saison ne portent point de tonnerre !
(58) Voyez Guagnini, 267. Il l’appelle Italum Arnolphum doctorem ; mais M. Richter trouva le nom de ce médecin dans Gelehrten Lexicon de Jocher, où il est écrit de la manière suivante : Arnolphus Lensæus. V. l’Histoire de la Médecine en Russie, ouvrage écrit en russe, t. I, p. 285.
(59) Guagnini dit : Ophanasius greorum quendam, lowczic dictum, M. Duci commendaverat. L’auteur a trouvé dans les Tozriades de 1567 (Voyez Bibliothèque ancienne russe, XIII, 293) : « Le veneur Grégory, fils de Dmitry Lovtschikof. »
(60) Guagnini, 287 ; Taube et Kruse, 225. Ces derniers rapportent que Jean, pour faire exécuter ce supplice, attendait le départ des ambassadeurs de Pologne et du duc Magnus, qui se trouvaient alors à Moscou.
(61) Avec un fouet, comme dit Guagnini. Dans les Affaires de Turquie (no. 2, feuille 130), il est fait mention d’une lettre de Viskovaty, qu’il avait écrite au pacha de Kepha ; ce qui arriva, comme il est probable, à la connaissance du tzar : il paraît que cette lettre servit à Jean pour accuser cet infortuné de secrètes intelligences avec le Sultan.
(62) Je passe sous silence quelques détails horribles. (Voyez Oderborn.)
(63) Guagnini, 294. J’épargne encore au lecteur et à moi-même le récit des détails. L’épouse de Founikof était la sœur du prince Athanase Viasemsky.
(64) Voyez Guagnini, 269.