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Page:Karamsin - Histoire de l'empire de Russie, Tome X, 1826.djvu/325

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qu’on percevait en blé et en argent, rapportaient à la caisse des provinces (223) quatre cent mille roubles ; le pays de Pskoff, dix-huit mille ; celui de Novgorod, trente-cinq mille ; ceux de Tver et de Torjek, huit mille ; celui de Rézan, trente mille ; celui de Mourom, douze mille ; de Kholmogory et de la Dvina, huit mille ; de Vologda, douze mille ; de Kazan, dix-huit mille ; d’Oustioug, trente mille ; de Rostoff, cinquante mille ; de Moscou, quarante mille ; de la Sibérie, en fourrures, vingt mille ; de Kostroma, douze mille, etc.

3o. Il y avait encore différens impôts pour les villes, tels que ceux qui étaient prélevés sur le commerce, sur les procédures, les cabarets et les bains, et qui étaient portés au Trésor de la grande recette. Moscou y était compris pour douze mille roubles, Smolensk pour huit, Pskoff pour douze, Novgorod pour six, Roussa, où se faisait le sel, pour dix-huit, Torjek pour huit cents, Tver pour sept cents, Jaroslaf, pour douze cents, Kostroma pour dix-huit cents, Nijni pour sept mille, Kazan pour onze mille, Vologda pour deux mille, etc. Ces impôts montaient à huit