(117) V. Margeret, 94.
(118) V. Livr. du Rosrède, en 1600. — Liste des Boyards dans la bibliothèque Russe, XX, 78.
(119) V. Margeret, 109. — Annales de Morosoff, p. 117.
(120) V. Annales de Nikon, p. 41. — Palitzin, p. 8. — Liv. des Degrès de Latoukhin, et Liv. du Rosrède en 1601.
(121) V. Margeret, 108.
(122) V. Palitzin, 17.
(123) V. Id., pag. 9. — Le manuscrit intitulé : Notices sur le méchant hérétique Grichka-Otrépieff, où il est dit qu’il fit un grand froid, le 28 juillet et non pas le 15 août, comme Palitzin le dit.
(124) V. Annales de Pskof. — Chronique de Bär. — Pétréjus. — Tom. X de cet Ouvrage.
(125) Suivant Pétréjus, trois gros d’Allemagne. — V. Bär. — Margeret dit : à chacun un Moscof, qui est quelque sept deniers tournois… et les principales fêtes et dimanches, un denin, qui est le double.
(126) Suivant Pétréjus, trente mille thalers.
(127) V. Chronique de Bär.
(128) V. Palitzin. — Bär. — Pétréjus.
(129) V. Précis de l’Histoire de Russie, 270. — Margeret, 107. — Aszentini dit : (V. tom. X de cet Ouvrage) que la famine causa en Russie une maladie affreuse, le cholera morbus.
(130) L’auteur du Précis de l’Histoire de Russie, dit, que Godounoff pilla lui-même les maisons des riches !… Probablement le Tsar avait donné l’ordre de s’emparer du blé chez ceux qui l’avaient caché.