(195) V. La lettre du Patriarche Job à l’Archimandrite du couvent de Solévitchégodsk.
(196) Margeret, qui se trouva lui-même à l’armée de Boris, dit p. 114, qu’elle était composée de quarante à cinquante mille soldats. — D’autres, comme Kobiergizky, p. 59, Loubensky, p. 37, et Peyerlé, parlent de soixante mille. — Bär en fait monter le nombre à deux cent mille hommes.
(197) V. Widekind, Historia Belli-sueco-Moscovitici decennalis, chap. X, f. 20.
(198) V. Affaires de Pologne, no. 26, f. 76. — Le Journal dans la Collection des actes de l’Empire, II, 171.
(199) V. Peyerlé. — Histoire de J.-A. de Thou, l. 135, p. 49.
(200) J’ai suivi Margeret, 113-114, dans sa relation du combat. — V. aussi Bär. — Les Chronographes. — Annales de Nikon. — Le Journal et Peyerlé, parle de quatre mille hommes tués. — Pétréjus ne parle que de deux mille.
(201) V. Pétréjus, 299. Il dit qu’un capitaine Suédois, Laurent Biougué, commandant six cents étrangers, s’était joint à Basmanoff.
(202) V. Margeret.
(203) V. Le Journal du 1er. janvier du nouveau style. — Peyerlé. — Loubensky, p. 31. — Naruscew., l. IV, 242.
(204) V. Peyerlé. — Pétréjus. — Affaires de Pologne, no. 27, f. 92. — Le Journal dans la Collection des actes de l’Empire, II, 172. — Récit sur Grichka Otrépieff. — Annales de Rostof. — Annales de Nikon.