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de l’Empire, II, 189. — Peyerlé dit que Boris mourut dans la salle dorée.

(220) V. Les Chronographes. — Chronique de Morosoff et beaucoup d’autres relations sur la mort de Boris. — Bär s’écrie : O mala conscientia quam timida bestia ! — Margeret dit que Boris mourut d’un coup d’apoplexie. — Loubensky, op. posth. 32, accuse Pierre Basmanoff d’avoir été payé par l’Imposteur pour empoisonner Godounoff. — Bär dit encore de Boris, qu’il vécut comme un lion, régna comme un renard, et mourut comme un chien.

(221) V. La lettre du Métropolitain de Rostof à l’Archimandrite du couvent d’Oussolsk.

(222) V. La collection des Actes de l’Empire, II, 192-202.

(223) C’est-à-dire, qu’on prêta le serment à Fédor comme au successeur du trône et comme au Tsar. — V. La Chronique (le Koubassoff dans les Mémoires Russes, I, 174.

(224) V. Margeret, 122. — La date dont il parle est du nouveau style. — Annales de Nikon, 65. — Chronographes. — Ce que dit Margeret mérite le plus de foi.

(225) V. The Russian Impostor, p. 61, et la Chronique de Piassetzky de 1605.

(226) V. dans la collection des Actes de l’Empire, II, 196 ; la lettre d’Otrépieff à Mnichek, du 24 (14) mai.

(227) V. Niemcewicz, tom. II, 531. — Les lettres du faux Dmitri à Mnichek, du 1.er mai. — Affaires de Pologne, no. 27, f. 93. — Margeret, 113.

(228) V. Abraham Bachmétieff. — Niemcewicz, II, 529.