Page:Kardec - Le livre des esprits, 2è édition, 1860.djvu/288

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est l’objet. Du reste, le plus souvent on maudit les méchants et l’on bénit les bons. La bénédiction et la malédiction ne peuvent jamais détourner la Providence de la voie de la justice ; elle ne frappe le maudit que s’il est méchant, et sa protection ne couvre que celui qui la mérite. »