épisode intitulé la Fauvette du docteur[1], présente comme une suite de ces Lettres d’un voyageur, écrite de nouveau au nom d’un prétendu « vieux docteur », pessimiste et désabusé.
Cette histoire de sa vie était trop incomplète pour satisfaire George Sand, elle décida dès lors d’écrire ses mémoires.
Dans une note au bas d’un article de 1857 de Charles de Mazade sur l’Histoire de ma vie, Buloz dit que George Sand avait dès l’époque qui suivit sa rupture tragique avec Musset, vers 1835-36, l’intention sérieuse d’écrire ses mémoires, et qu’on peut en retrouver le plan et des détails dans les lettres de Mme Sand qu’il a gardées dans ses cartons :
… « Nous n’avons pas oublié non plus que dans l’hiver de 1835
- ↑ V. George Sand, sa vie et ses œuvres, vol. II, chap. xiii, p. 433-34.
sont réimprimées dans toutes les éditions des œuvres de George Sand depuis 1842 :
Revue des Deux Mondes | Dans le volume | Datées de : |
— | — | — |
du 15 mai 1834, N° I 15 juillet 1834, N° II à M*** 15 sept. 1834, N° III |
I II III |
Venise, 1er mai 1834. Sans date. Venise, juin 1834 |
13 janvier 1835 : Lettres d’un Oncle. 15 juin 1835, N° IV (à Everard) 1er septembre 1835, N° V |
V (à Rollinat) VI à Everard (Michel) VII à Fr. Listz |
Janvier 1835. 11, 15, 18, 20, 22, 23, 26, 29 avril 1835. |
1er juin 1836, N° VI
|
nos IV et IX au Malgache et à Rollinat
|
Septembre 1835 : lundi soir |
15 novembre 1836, N° VII, à Charles Didier. | X à Herbert | Versailles, Auteuil, 2 sept. 1836,
de Chalon à Lyon, Nantua, Genève, Fribourg. |
15 novembre 1836, N° VIII La Revue de Paris, de mai 1836, Lettre à M. Nisard. |
XI à Meyerbeer N° XII |
Genève, septembre 1836. Sans date. |