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À LESBOS
— Non, des amis, ont parlé de moi à son mari.
— Quand allez-vous chez ces richards ?
— Demain.
— Le Smyth vous présentera à sa chaste épouse.
— J’espère qu’il s’abstiendra ; elle ne doit pas aimer à rencontrer des témoins de sa vie crapuleuse.
— Elle doit conserver quelques réminiscences.
— En faveur de son seigneur et maître, peut-être, car, il paraît qu’elle a fait peau neuve.
On parle même d’une certaine tendance vers la dévotion.
— Elle est complète.
La conversation continua encore pendant un quart d’heure ; puis Gustave Lebon prit congé de son amie, toujours honteux de la mercuriale qu’il avait voulu donner à mademoiselle Fernez.