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procher aux anciens romans, comme défauts de tous les temps, à cet amas d’extravagances puisées chez nos voisins, et traduites, ou quelquefois imitées en notre langue. Ce qui semble plus surprenant encore, c’est le sexe du plus grand nombre de leurs auteurs. On a reconnu de tout temps chez les femmes un tact fin, un sentiment délicat des convenances sociales et ce sont des femmes qui placent