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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/127

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tendresse, et retomba dans le profond accablement qui l’avait empêché d’entendre le récit de M. Tillotson.

Il en fut bientôt tiré par un soupir qu’on entendit pousser à la malade ; elle parut sortir d’un profond accablement, et demanda son fils. On entoura son lit ; elle regarda très-attentivement tous ceux qui parurent, mais surtout M. Tillotson ; elle fit signe qu’on lui expliquât pourquoi il était là. On fut embarrassé de lui répondre ; on craignait de lui rappeler une idée qui ne semblait pas présente à son