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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/142

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ne voulait pas que cet enfant fût contrariée. Milord Falcombridge, son père, devait avoir pendant sa vie la jouissance de toute la fortune apportée par lady Henriette, si elle mourait sans enfants ; si, au contraire, elle laissait un ou plusieurs héritiers, Milord devait leur rendre compte de la totalité des biens, et n’en conserver qu’une part d’enfant dans la jouissance. Lady Henriette l’avait ainsi voulu, en épousant par inclination lord Falcombridge, et disposant des volontés de ses parents dont elle était adorée. On dit que ses jours furent