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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/153

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répliqua Milady, peu satisfaite de la réflexion. N’a-t-elle qu’un fils ? — Je ne lui connais pas d’autre enfant. — Il suffit. Je veux voir cette femme, car il faut qu’elle me cède sa maison ; je veux remettre en valeur les terres qui dépendent du château ; il me faut un fermier, et je ne puis le loger que là. — Oh ! je vous en prie, Milady, s’écria vivement lady Amélia, que notre arrivée ne soit pas le signal du trouble et de l’injustice. Laissez cette femme jouir en paix de sa propriété. Si elle est d’une santé languissante, le chagrin d’un déplacement peut