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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/266

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avait indiqué les précautions à prendre pour la retarder.

C’était dans ces entrefaites que se passaient à l’hermitage les scènes dont nous avons parlé. L’alarme était très-grande à la chaumière ; mistriss Belmour avait compris qu’on lui cachait quelque chose ; elle avait voulu le savoir ; vertueuse et sensée, elle ne pouvait imaginer que milady Falcombridge, à son âge, eût en effet une passion pour son fils ; elle sourit lorsque M. Tillotson lui en parla, et crut long-temps que c’était un pur badinage. Mais, lorsque son ami lui eut affirmé la vérité, elle