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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/136

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prendre, et celui de revoir Law et Déborah lui paraissait préférable à celui de traverser encore l’Angleterre seule et sans argent ; car John Barclay avait emporté avec son trésor la lettre de lady Amélia à Éliza Harlay. Peut-être lady Amélia avait-elle parlé à Law, à Déborah ! Peut-être savait-elle la fuite ou le malheur arrivé à John, car cette séparation était inexplicable ; il fallait revoir Law, et Caroline était déterminée à reprendre, dès le soir même, le chemin de sa maison, si elle ne pouvait être reçue au château de Rochester. Charles II, de