Aller au contenu

Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/171

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 167 )

de ne pas vous perdre de vue jusqu’à la première ville, si toutefois nous ne nous sentions pas assez forts pour nous saisir de vous, et vous entraîner vers les premières gardes à qui nous devions vous remettre comme gens attachés au parti du roi que l’on cherche aussi de tous côtés. Tout malade que j’étais, il a fallu partir ; pour la seconde fois, je suis tombé dans vos mains ; et à cette heure il n’y a plus de fortune, je n’en relèverai pas. Mais prenez garde à vous, car mon compagnon Wil vous est échappé. » En disant ces