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Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/197

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être informé du sort de Caroline. « Le souvenir de cette jeune fille, dit-il à sir Francis, m’arrache des larmes ; je frémis à l’image de ses dangers. Windham, au nom de l’humanité ! au nom de votre roi malheureux et fugitif, suivez ses traces ; informez-vous de cette aimable fille, de cet être sensible, que sa bonté naturelle a porté à me secourir, à soulager mes ennuis, à soutenir mon courage ; dont la compatissante générosité s’est dépouillée en ma faveur. Mon cher Windham, nulle femme peut-être ne peut m’inspirer de semblables